Les questions autour de la compensation financière des acteurs du circuit

Avec au moins trois mois sans tournois, il va falloir avoir une volonté et des idées pour compenser la perte financière de tous les intermittents du circuit, joueurs compris.

Une qualification pour le troisième tour à Roland-Garros permet d'empocher 24 000 euros. Un gain potentiel forcément menacé par le contexte actuel. (N. Luttiau/L'Équipe)
Une qualification pour le troisième tour à Roland-Garros permet d'empocher 24 000 euros. Un gain potentiel forcément menacé par le contexte actuel. (N. Luttiau/L'Équipe)
Une qualification pour le troisième tour à Roland-Garros permet d'empocher 24 000 euros. Un gain potentiel forcément menacé par le contexte actuel. (N. Luttiau/L'Équipe)

Les questions autour de la compensation financière des acteurs du circuit

Avec au moins trois mois sans tournois, il va falloir avoir une volonté et des idées pour compenser la perte financière de tous les intermittents du circuit, joueurs compris.

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Tandis que les instances mondiales essaient de réfléchir en ordre plus ou moins dispersé à la nouvelle situation d'un tennis sous bulle, les joueurs ne jouent plus et tous les intervenants du Tour n'interviennent plus. Surfant entre les frontières et les règlements différents d'un pays à l'autre, le Tour est peuplé de travailleurs indépendants et d'auto-entrepreneurs évidemment affectés par la crise en cours. Plus de tournois, plus de prize-money, plus de prestations. Et peu d'assurance dans un monde géré par l'individualisme et les intérêts privés. On part de loin quand on voit la Fédération américaine ne reverser que 50 % des droits d'entrée déjà payés à ceux inscrits pour les tournois juniors qui n'ont pas eu lieu.

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