Arbitrage : la vidéo prend ses marques à Roland-Garros

Roland-Garros demeure le dernier Grand Chelem à ne pas offrir aux joueurs le «challenge» vidéo. Plusieurs acteurs plaident pourtant en faveur de son instauration.

Samedi, après la troisième et dernière interruption de la demi-finale entre Novak Djokovic et Dominic Thiem, à 40A, sur une balle de 5-1 en faveur de l'Autrichien dans le 5e set, le Serbe arrête l'échange, estimant la balle faute. L'arbitre descend de sa chaise pour aller examiner la trace et donne le point à Thiem, qui hérite d'une balle de break (non convertie). Le n°1 mondial ne comprend pas cette décision et exprime son incompréhension. (R. Martin/L'Equipe)
Samedi, après la troisième et dernière interruption de la demi-finale entre Novak Djokovic et Dominic Thiem, à 40A, sur une balle de 5-1 en faveur de l'Autrichien dans le 5e set, le Serbe arrête l'échange, estimant la balle faute. L'arbitre descend de sa chaise pour aller examiner la trace et donne le point à Thiem, qui hérite d'une balle de break (non convertie). Le n°1 mondial ne comprend pas cette décision et exprime son incompréhension. (R. Martin/L'Equipe)
Samedi, après la troisième et dernière interruption de la demi-finale entre Novak Djokovic et Dominic Thiem, à 40A, sur une balle de 5-1 en faveur de l'Autrichien dans le 5e set, le Serbe arrête l'échange, estimant la balle faute. L'arbitre descend de sa chaise pour aller examiner la trace et donne le point à Thiem, qui hérite d'une balle de break (non convertie). Le n°1 mondial ne comprend pas cette décision et exprime son incompréhension. (R. Martin/L'Equipe)

Arbitrage : la vidéo prend ses marques à Roland-Garros

Roland-Garros demeure le dernier Grand Chelem à ne pas offrir aux joueurs le «challenge» vidéo. Plusieurs acteurs plaident pourtant en faveur de son instauration.

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Il n'y a pas que sur le tie-break au cinquième set que Roland-Garros endosse le rôle de dernier des Mohicans. Le seul Grand Chelem sur terre battue résiste aussi à l'arbitrage vidéo, à ce fameux «challenge» que les tennis (wo)men peuvent demander à l'Open d'Australie, à Wimbledon et à l'US Open pour vérifier une annonce «in» ou «out». Officiellement, le tournoi parisien ne voit pas pourquoi il changerait. Pour une simple et bonne raison : sur terre, la balle laisse une trace que joueurs et arbitres peuvent vérifier.

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