Le champion du monde Siya Kolisi est le capitaine d'une Afrique du Sud qui, à son image, célèbre la diversité

Issu des townships, le leader des Springboks, sacrés samedi champions du monde, porte l'image d'une Afrique du Sud qui veut croire en son avenir.

Le capitaine Siya Kolisi (à droite) étreint l'ouvreur des Springboks, Handré Pollard, auteur de 22 points hier en finale face aux Anglais.  (E. Hoshiko/AP)
Le capitaine Siya Kolisi (à droite) étreint l'ouvreur des Springboks, Handré Pollard, auteur de 22 points hier en finale face aux Anglais.  (E. Hoshiko/AP)
Le capitaine Siya Kolisi (à droite) étreint l'ouvreur des Springboks, Handré Pollard, auteur de 22 points hier en finale face aux Anglais. (E. Hoshiko/AP)

Le champion du monde Siya Kolisi est le capitaine d'une Afrique du Sud qui, à son image, célèbre la diversité

Issu des townships, le leader des Springboks, sacrés samedi champions du monde, porte l'image d'une Afrique du Sud qui veut croire en son avenir.

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Quelle responsabilité en héritage, pour Kolisi ! À vous plomber au coup d'envoi d'un match. Mais, et cela a été leur force sur la durée de cette Coupe du monde japonaise, les Springboks ont su transformer cette charge en force, en une force phénoménale même, qui les a poussés jusqu'au titre. Avaient-ils la pression d'une nation en plus de celle d'une finale ? « La pression, en Afrique du Sud, c'est ne pas avoir de boulot, c'est avoir un proche assassiné, a rejeté Rassie Erasmus. Le rugby, ce n'est pas de la pression, pas un fardeau. C'est un privilège. »

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