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Entre Veszprem, Barcelone et un retour en France, Ludovic Fabregas va devoir choisir pour son avenir

Ludovic Fabregas sous le maillot de Veszprem en Ligue des champions, face à son club formateur de Montpellier. (Sy. Thomas/L'Équipe)
Ludovic Fabregas sous le maillot de Veszprem en Ligue des champions, face à son club formateur de Montpellier. (Sy. Thomas/L'Équipe)

En fin de contrat en 2025 à Veszprem, qui veut le prolonger, le pivot des Bleus Ludovic Fabregas est également courtisé par le Barça et des clubs français.

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Considéré comme le meilleur pivot du monde, Ludovic Fabregas suscite logiquement l'intérêt de nombreux clubs phares. Le vice-capitaine des Bleus (1,98 m, 27 ans), avec qui il a conquis l'Euro en janvier, est en fin de contrat en 2025 à Veszprem (avec une année supplémentaire en option) et dispose d'une belle offre de prolongation, sur trois saisons en plus de l'année optionnelle.

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Le grand club hongrois tient à consolider son noyau français (à l'exception de Kentin Mahé, qui va revenir à Gummersbach) et souhaite également prolonger Nedim Remili (engagé jusqu'en 2026) et Hugo Descat (2025). Un argument de plus pour retenir Fabregas, qui s'est senti bien accueilli avec sa famille. Sur le parquet, tout se passe bien et aucun autre club ne peut rivaliser sur le plan financier.

Il reste très attaché à la Catalogne

Mais d'autres propositions séduisantes sont sur la table, à commencer par celle du Barça. Comme l'ont évoqué des médias espagnols, le club catalan rêve de faire revenir celui qui a brillé en blaugrana de 2018 à l'été dernier. Son départ avait provoqué la stupeur et il n'a pas été vraiment remplacé.

Selon nos informations, les dirigeants barcelonais seraient prêts à lui offrir un contrat à long terme, sur quatre voire cinq ans. Fabregas avait certes été déçu par l'offre de prolongation que ces derniers lui avaient faite il y a deux ans, mais l'enfant de Banyuls (Pyrénées-Orientales) reste intimement attaché au club et à la Catalogne, d'où est également originaire sa compagne.

Un retour en France ne semble cependant pas non plus exclu. Il y a deux ans, le Paris-SG et Montpellier, son club formateur, avaient eux aussi tenté de le faire revenir au pays.

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Toutes les options semblent encore ouvertes. Le joueur a souhaité repousser l'heure du choix au-delà du 8e de finale de Ligue des champions contre Szeged, remporté la semaine passée (37-30, 39-32). Sa décision devrait cependant intervenir assez rapidement.

publié le 9 avril 2024 à 20h09 mis à jour le 10 avril 2024 à 23h25
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