En l'absence de Grand Prix, un silence princier règne sur Monaco

Alors que le GP aurait dû s'élancer ce dimanche après-midi, la Principauté offre un décor de cinéma, où tourneront à l'aube Charles Leclerc et Claude Lelouch dans une ville déserte et silencieuse.

Point de bolides, point de supporters, point de festivaliers, point de course, Monaco vit ce week-end de mai sans Grand Prix cette année. (P. Lahalle/L'Équipe)
Point de bolides, point de supporters, point de festivaliers, point de course, Monaco vit ce week-end de mai sans Grand Prix cette année. (P. Lahalle/L'Équipe)
Point de bolides, point de supporters, point de festivaliers, point de course, Monaco vit ce week-end de mai sans Grand Prix cette année. (P. Lahalle/L'Équipe)

En l'absence de Grand Prix, un silence princier règne sur Monaco

Alors que le GP aurait dû s'élancer ce dimanche après-midi, la Principauté offre un décor de cinéma, où tourneront à l'aube Charles Leclerc et Claude Lelouch dans une ville déserte et silencieuse.

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Il reste l'odeur du jasmin, la couleur des bougainvilliers et les jolies pierres de la vieille ville. C'est tout. Pas de vapeurs d'essence ni d'odeur de carbone chaud. Et encore moins de feulements fracassants. Les rues sont désertes, les quais sont vides et la place du Casino sonne creux. Samedi, à l'heure des qualifications de ce qui aurait dû être le 78e Grand Prix de Monaco, un silence assourdissant pesait sur la ville désertée. Il suffisait qu'une Ferrari emprunte l'avenue d'Ostende, que les amateurs de F1 connaissent mieux sous le nom de montée de Beaurivage, pour que les rares passants du quai Albert-1er (la ligne droite des stands) s'arrêtent, comme étonnés par ce bruyant désordre.

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