Lewis Hamilton, dont l'avenir fera partie des sujets brûlants lors du prochain marché des transferts, a assuré sur Instagram « ne même pas avoir commencé à discuter (de son) contrat » avec l'écurie Mercedes, pour laquelle il court depuis 2013.
Dans un message posté puis effacé, ce qu'il fait régulièrement, le pilote britannique, sextuple champion du monde a répondu aux médias italiens, selon lesquels les négociations avec son équipe seraient à l'arrêt. « Toto (Wolff, le patron de Mercedes) et moi n'avons même pas commencé à discuter [...]. Rien n'est actuellement en négociations », avait-il écrit.
Un avenir lié à celui de Toto Wolff
Le contrat d'Hamilton, estimé à 40 millions de dollars annuels (soit 36 millions d'euros), expirera à la fin de la saison 2020 (qui débutera le 15 mars avec le Grand Prix d'Australie), et le Britannique a été lié à Ferrari, qui pourrait chercher à remplacer l'Allemand Sebastian Vettel.
Interrogé sur d'éventuelles discussions avec la Scuderia, Hamilton avait déclaré après sa victoire lors du dernier Grand Prix de l'année 2019 à Abu Dhabi : « Ce qui se passe derrière des portes closes est par nature privé, mais cela fait de nombreuses années que je n'ai pas envisagé d'autres options » que Mercedes. Il avait également précisé que sa décision de rester ou non au sein de l'écurie allemande serait liée à celle de Wolff.
Depuis, Ferrari a prolongé le contrat de Charles Leclerc jusqu'en 2024, et le Néerlandais Max Verstappen s'est réengagé avec Red Bull jusqu'en 2023. Le démenti du pilote britannique, jeudi, intervient, alors que des médias avancent que le groupe Daimler, dont fait partie Mercedes, doit discuter du maintien de la marque en Formule 1 en tant que constructeur. Auprès de l'AFP, une source proche du dossier a toutefois démenti l'information.