Habitué à souffrir, l'Atlético de Madrid devra encore faire parler son ADN à Dortmund

Dans l'ambiance irrespirable de Dortmund, l'Atlético de Madrid s'attend à énormément souffrir lors de son quart de finale retour, mardi soir. Cela tombe bien, c'est inscrit dans son ADN.

Antoine Griezmann et les Colchoneros mercredi dernier lors du match aller face au Borussia Dortmund. (J. Soriano/AFP)
Antoine Griezmann et les Colchoneros mercredi dernier lors du match aller face au Borussia Dortmund. (J. Soriano/AFP)
Antoine Griezmann et les Colchoneros mercredi dernier lors du match aller face au Borussia Dortmund. (J. Soriano/AFP)

Habitué à souffrir, l'Atlético de Madrid devra encore faire parler son ADN à Dortmund

Dans l'ambiance irrespirable de Dortmund, l'Atlético de Madrid s'attend à énormément souffrir lors de son quart de finale retour, mardi soir. Cela tombe bien, c'est inscrit dans son ADN.

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Du temps du premier stade Metropolitano, la route qui nous menait de la bouche de métro au stade était surnommée "la piste des éléphants", parce qu'on disait qu'on en sortait heureux avant d'y retourner la tête basse, se remémore Eduardo Fernandez, 70 ans, président des peñas de l'Atlético. Et après notre première défaite en finale de C1 (en 1974 contre le Bayern Munich, 1-1 a.p. puis 0-4 en match rejoué), le président Vicente Calderón avait déclaré qu'on était une équipe de "pupas" (maudits) et ça nous a longtemps collé à la peau. » Une compétition jamais soulevée par l'Atlético malgré trois finales disputées (avec 2014 et 2016). Des échecs qui n'ont fait que renforcer ce sentiment de souffrance profondément lié à l'identité et au jeu du club madrilène.

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