Peu de chances de s'en sortir pour la Russie après son exclusion par l'Agence mondiale antidopage

Même s'ils se décident à faire appel de la sanction infligée par l'Agence mondiale antidopage, les Russes auront du mal à obtenir gain de cause et à ne pas être exclu des grandes compétitions pour quatre ans.

Les Russes auront du mal à obtenir gain de cause et à ne pas être exclu des grandes compétitions pour quatre ans. (L'Equipe)
Les Russes auront du mal à obtenir gain de cause et à ne pas être exclu des grandes compétitions pour quatre ans. (L'Equipe)
Les Russes auront du mal à obtenir gain de cause et à ne pas être exclu des grandes compétitions pour quatre ans. (L'Equipe)

Peu de chances de s'en sortir pour la Russie après son exclusion par l'Agence mondiale antidopage

Même s'ils se décident à faire appel de la sanction infligée par l'Agence mondiale antidopage, les Russes auront du mal à obtenir gain de cause et à ne pas être exclu des grandes compétitions pour quatre ans.

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Plus que vingt jours. Le pseudo compte à rebours est enclenché, même si son issue ne fait aucun doute. On imagine mal la Russie ne pas faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) de la sanction que l'Agence mondiale antidopage (AMA) vient de lui infliger. Certes, voici deux ans, avant les Jeux d'hiver de Pyeongchang, Moscou avait accepté les décisions du CIO qui avait suspendu le comité olympique russe mais autorisé les athlètes à concourir. Mais à l'époque, le Kremlin pensait que c'était pour soldes de tout compte et Vladimir Poiutine avait poussé en ce sens.

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