Lutte antidopage : Chine, le dopage derrière le virus ?

L'agence antidopage chinoise a annoncé l'arrêt de ses contrôles en raison des restrictions imposées par la lutte contre le Sars-CoV-2. Une décision qui pourrait profiter aux tricheurs, à moins de six mois des JO de Tokyo.

Le laboratoire antidopage de Pékin, le seul habilité par la la loi chinoise à traiter les échantillons prélevés sur le territoire national, a été contraint de réduire son activité face à la propagation du virus en Chine. (Chinafotopress/MaxPPP)
Le laboratoire antidopage de Pékin, le seul habilité par la la loi chinoise à traiter les échantillons prélevés sur le territoire national, a été contraint de réduire son activité face à la propagation du virus en Chine. (Chinafotopress/MaxPPP)
Le laboratoire antidopage de Pékin, le seul habilité par la la loi chinoise à traiter les échantillons prélevés sur le territoire national, a été contraint de réduire son activité face à la propagation du virus en Chine. (Chinafotopress/MaxPPP)

Lutte antidopage : Chine, le dopage derrière le virus ?

L'agence antidopage chinoise a annoncé l'arrêt de ses contrôles en raison des restrictions imposées par la lutte contre le Sars-CoV-2. Une décision qui pourrait profiter aux tricheurs, à moins de six mois des JO de Tokyo.

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Dimanche, les autorités chinoises ont annoncé que l'épidémie de Sars-CoV-2 avait fait 1 665 morts, hors Hongkong et Macao. Depuis des semaines, le monde du sport s'organise pour protéger ses acteurs. Les Championnats du monde d'athlétisme en salle, prévus à Nankin, et le Grand Prix de Chine de Formule 1, à Shanghai, ont été reportés.

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