Mickael Mawem, Marc-Antoine Olivier, Charline Picon ou Zelimkhan Khadjiev ont de la chance. Ils font de l'escalade, de l'eau libre, de la lutte ou de la voile et, avec quelques camarades, savent déjà que, sauf blessure ou renoncement, ils seront à Tokyo. Une poignée d'élus précoces. Pour tous les autres, qui défileront ensemble derrière le drapeau bleu-blanc-rouge au soir de la cérémonie d'ouverture, le 24 juillet, on oscille entre la quasi-certitude et l'inconnu.
Jeux Olympiques 2020 : pour se qualifier à Tokyo, les routes sont nombreuses
Entre quotas nominatifs (ou non), rankings et sélections, la variété des voies d'accès aux JO est très large.
Marc-Antoine Olivier fait partie des rares Bleus qui sont déjà, sauf impondérable, assurés d'être de la grande fête olympique au Japon. (J. Prevost/L'Equipe)
Jeux Olympiques 2020 : pour se qualifier à Tokyo, les routes sont nombreuses
Entre quotas nominatifs (ou non), rankings et sélections, la variété des voies d'accès aux JO est très large.
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