La légende raconte qu'à l'Exposition universelle de Bruxelles de 1910, le Français Max Decugis domina le Néo-Zélandais Anthony Wilding 3-6, 0-6, 7-5, 6-0, 6-0... après avoir été mené 6-3, 6-0, 5-0 ! L'histoire est tellement belle (et folle) qu'elle semble apocryphe, une galéjade que la poussière du temps a soigneusement recouverte. Rien de tel avec l'exploit invraisemblable, au sens strict du terme, réussi par Adriano Panatta en dix semaines au printemps 1976.
Rétro Roland-Garros 1976 : Adriano Panatta marchait sur l'eau
En 1976, Porte d'Auteuil, l'Italien avait remporté son seul tournoi du Grand Chelem à l'issue d'un printemps euphorique où il avait sauvé des balles de match à la pelle, battu Borg pour la deuxième fois à Roland-Garros et réussi le doublé Rome-Paris.
Une attitude emblématique du play-boy italien, superbe volleyeur au toucher de balle soyeux, esthète un rien nonchalant qui réussira, en ce printemps 1976, à mettre à sa botte tous les forçats de la terre battue. (G. Bosio/L'Equipe)
Rétro Roland-Garros 1976 : Adriano Panatta marchait sur l'eau
En 1976, Porte d'Auteuil, l'Italien avait remporté son seul tournoi du Grand Chelem à l'issue d'un printemps euphorique où il avait sauvé des balles de match à la pelle, battu Borg pour la deuxième fois à Roland-Garros et réussi le doublé Rome-Paris.
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