Les inégalités se creusent entre circuit féminin et masculin

En période « normale », la précarité est déjà plus prégnante sur le circuit féminin que masculin. Avec la crise sanitaire, la situation s'est beaucoup dégradée.

Myrtille Georges, 168e mondiale en 2016, va entamer sa reconversion en septembre. (P. Lahalle//L'Équipe)
Myrtille Georges, 168e mondiale en 2016, va entamer sa reconversion en septembre. (P. Lahalle//L'Équipe)
Myrtille Georges, 168e mondiale en 2016, va entamer sa reconversion en septembre. (P. Lahalle//L'Équipe)

Les inégalités se creusent entre circuit féminin et masculin

En période « normale », la précarité est déjà plus prégnante sur le circuit féminin que masculin. Avec la crise sanitaire, la situation s'est beaucoup dégradée.

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La crise sanitaire liée à la pandémie de coronavirus touche tout le monde mais certains ou plutôt certaines plus que d'autres. Dans le tennis, le circuit féminin connaît beaucoup plus la précarité que son homologue masculin. Quand on quitte l'autoroute des tournois principaux, le chemin devient très sinueux. On parle souvent du prize money inférieur chez les femmes mais les à-côtés ne font que creuser les inégalités.

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