Jérémy Florès  : « Je vis les plus belles années de ma vie »

La trentaine tranquille, Jérémy Florès semble avoir enfin dompté ses démons. Au crépuscule de sa carrière, alors qu'il s'est qualifié pour les JO de Tokyo 2020, le prodige français du surf se livre sans tabou. Son enfance, ses erreurs, ses joies, ses hauts et ses bas... Retour à la première personne sur un parcours hors normes.

Jérémy Florès. Stylisme : Nicolas Klam (Serge Leblon)
Jérémy Florès. Stylisme : Nicolas Klam (Serge Leblon)
Jérémy Florès. Stylisme : Nicolas Klam (Serge Leblon)

Jérémy Florès  : « Je vis les plus belles années de ma vie »

La trentaine tranquille, Jérémy Florès semble avoir enfin dompté ses démons. Au crépuscule de sa carrière, alors qu'il s'est qualifié pour les JO de Tokyo 2020, le prodige français du surf se livre sans tabou. Son enfance, ses erreurs, ses joies, ses hauts et ses bas... Retour à la première personne sur un parcours hors normes.

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À bientôt 32 ans, et après 14 saisons sur le circuit pro, Jérémy Florès est au crépuscule de sa carrière. Une carrière qui a démarré en trombe avec une qualification dans l'élite fin 2006, alors que le Réunionnais n'avait que 17 ans. Un record de précocité pour celui qui, dans l'ombre de Kelly Slater, osait avouer ses rêves de grandeur (le titre de champion du monde) dans un milieu du surf bigrement policé. Le gamin détonnait. Sauf que l'histoire n'a jamais été simple, la route jamais droite, ni lisse. Son parcours de vie ressemble à une courbe sinusoïdale faite d'incessants hauts et de bas, entre blessures, incompréhensions, pétages de plombs, suspensions et même déprime... Mais aussi de magnifiques coups d'éclat, de victoires flamboyantes - Hawaï deux fois, Tahiti et Hossegor. Pour « Sport & Style », le surfeur au caractère entier mais enfin apaisé, raconte son intimité à travers ses joies, ses réussites, ses déceptions, ses fêlures. Une épopée en cinq actes.

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