L'ÉQUIPE
Le Mans 66, réalisé par James Mangold, avec notamment Matt Damon, est sorti le 13 novembre en France. ( Twentieth Century Fox France - DR)

La course auto, star du cinéma

Le Mans 66, réalisé par James Mangold, avec notamment Matt Damon, est sorti le 13 novembre en France. ( Twentieth Century Fox France - DR)

La course auto, star du cinéma

Le Mans 66, réalisé par James Mangold, avec notamment Matt Damon, est sorti le 13 novembre en France. ( Twentieth Century Fox France - DR)

Comme le film Le Mans 66, sorti en salles ce mercredi 13 novembre, plusieurs autres productions ont eu pour thème principal la course automobile. Retour sur lesplus connues d'entre elles.

ma liste
commenter
réagir
(Twentieth Century Fox France - DR)
(Twentieth Century Fox France - DR)

Le film Le Mans 66 vient de sortir. Ce très long métrage (2h30) retrace la lutte opposant Ferrari et Ford pendant l'édition des 24 Heures du Mans 1966. La prestigieuse marque italienne domine dans la Sarthe, des ailes et des jantes. Elle remporte 5 victoires d'affilée de 1960 à 65. En 1966, Ford se lance. Henry Ford II, alors à la tête du constructeur américain, va trouver Caroll Shelby. Il demande au préparateur texan, père de la AC Cobra, de lui concocter une auto capable de battre Ferrari. Le constructeur américain engage la GT40. Le bolide à moteur V8 central s'avère si équilibré et bien conçu qu'il va l'emporter quatre années durant. Le Mans 66 porte bien son titre bis « Ford contre Ferrari ». Ce faisant, le long-métrage romance quelque peu la réalité historique. Dans cet opus, c'est Matt Damon, alias « beau gosse », qui joue le rôle de Caroll Shelby.

L'ÉQUIPE
(Everett/Rue des Archives)
(Everett/Rue des Archives)

Rush, de Ron Howard (2013)
C'est l'histoire de la rivalité entre deux très grands pilotes : le Britannique James Hunt et l'Autrichien Niki Lauda. Tout les oppose, le premier est haut en couleur, noceur et casse-cou, l'autre sérieux, un brin austère. Des personnalités opposées qui ne s'entendent pas. Le film se déroule en partie durant la saison de Formule 1 de 1976, pendant laquelle James Hunt pilote une McLaren et Niki Lauda une Ferrari. C'est au cours du GP d'Allemagne que le pilote autrichien subit un terrible accident au cours duquel il est brûlé au visage. Il en gardera des séquelles toute sa vie.

(EuropaCorp Distribution - DR)
(EuropaCorp Distribution - DR)

Michel Vaillant, de Louis-Pascal Couvelaire (2003)
On retrouve à la production de ce film français, EuropaCorp, la société de Luc Besson. Le réalisateur est aussi l'auteur du scénario. L'ensemble est librement inspiré des BD belges de Jean Graton. Une fois encore, les 24 Heures du Mans tiennent lieu de décor et la lutte entre les Vaillante et l'écurie rivale Leader, d'intrigue. Deux autos, une Lola et une Panoz, ont participé spécialement aux 24 Heures 2002, grimées en Vaillante et en Leader.

(BCA/Rue des Archives)
(BCA/Rue des Archives)

Driven, de Renny Harlin (2001)
Ce film américain rencontre un grand succès. Il se déroule dans le milieu des courses américaines de CART, aussi appelées IndyCar Séries. Elles se déroulent souvent aux États-Unis sur des anneaux de vitesse. La plus célèbre reste les 500 milles d'Indianapolis. Les autos sont des monoplaces, assez proches des Formules 1. Là encore, le film relate une histoire de rivalité entre deux pilotes.

(Collection CSFF/Rue des Archives)
(Collection CSFF/Rue des Archives)

Le Mans, de Lee H. Katzin (1971)
Avec un nom comme cela, on imagine que cet opus ne raconte pas une édition du GP de Monaco... En fait, le film est tourné en conditions réelles durant l'édition des 24 Heures du Mans 1970. Il ménage de splendides scènes de course notamment avec la Porsche 917 en livrée Gulf. Steve McQueen occupe le rôle principal. « Pilote lui-même, il souhaitait réellement participer à la course mais les assureurs ont refusé ». C'est dans ce film qu'il porte le chronographe Heuer Monaco. Cette montre carrée devient après cela, une légende de l'horlogerie moderne.

(DILTZ/Rue de Archives)
(DILTZ/Rue de Archives)

Virages, de James Goldstone (1969)
C'est l'anneau de vitesse (Speedway) d'Indianapolis qui sert de fond pour ce long-métrage américain. L'essentiel du film est tourné durant l'édition 1968 de la mythique course américaine. Le héros est joué par Paul Newman, alias « les Yeux Bleus ». L'acteur porte une Rolex Daytona en acier. Ce film va lancer la carrière de cette montre devenue depuis, l'un des chronographes les plus mythiques.

L'ÉQUIPE
(BCA/Rue des Archives)
(BCA/Rue des Archives)

Un amour de Coccinelle, de Robert Stevenson (1968)
C'est l'histoire d'une auto vivante, « Choupette », qui devient la nouvelle monture d'un pilote « à l'arrêt et sans le sou ». Il l'achète pour rien, et l'engage en rallye. Contre toute attente, elle se révèle très rapide. Elle va permettre au héros de vivre moult aventures entrecoupées de nombreux gags. Le premier opus rencontre le succès. Cette comédie familiale est déclinée en 5 nouveaux films, dont La Coccinelle à Monte-Carlo en 1977. Cet opus raconte la participation, pleine de rebondissements, de Choupette au célèbre rallye éponyme.

(Collection CSF/Rue des Archives)
(Collection CSF/Rue des Archives)

Grand-Prix, de John Frankenheimer (1966)
Il est tourné pendant la saison 1966 de Formule 1. Gros succès, il remporte trois Oscars. Ce long-métrage raconte l'histoire de quatre pilotes se disputant le championnat du monde. À noter que de vrais champions comme Jack Brabahm, Jim Clark, mais aussi Guy Ligier ou Jo Schlesser jouent leur propre rôle dans le film.

publié le 19 novembre 2019 à 14h42
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. lire la charte