Flocons de malheur pour Pierre-Emmanuel Dalcin, privé d'or olympique à Turin

Aux JO de Turin, en 2006, le super-G masculin a été arrêté à cause des chutes de neige après le dossard 17 et recouru trois heures plus tard, laissant à Pierre-Emmanuel Dalcin des regrets éternels.

Pierre-Emmanuel Dalcin, privé d'une médaille d'or qui lui tendait les bras. (J. Prevost/L'Équipe)
Pierre-Emmanuel Dalcin, privé d'une médaille d'or qui lui tendait les bras. (J. Prevost/L'Équipe)
Pierre-Emmanuel Dalcin, privé d'une médaille d'or qui lui tendait les bras. (J. Prevost/L'Équipe)

Flocons de malheur pour Pierre-Emmanuel Dalcin, privé d'or olympique à Turin

Aux JO de Turin, en 2006, le super-G masculin a été arrêté à cause des chutes de neige après le dossard 17 et recouru trois heures plus tard, laissant à Pierre-Emmanuel Dalcin des regrets éternels.

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En bas de la Banchetta de Sestrières, ce samedi 18 février, le clan français s'agite. Pierre-Emmanuel Dalcin, dossard 6, vient d'en finir avec son premier super-G olympique et s'est installé en tête avec une confortable avance sur le Canadien Manuel Osborne-Paradis. Sur cette piste qui s'élance du point culminant du domaine construit par la famille Agnelli, Antoine Dénériaz avait été sacré champion olympique de descente le week-end précédent. Avec son dossard 30, il avait su dès la ligne d'arrivée franchie qu'il se parait d'or. La France, loin d'être un poids lourd du ski mondial, brillait à Turin. Le skieur de Val-Cenis, lui, attend le passage des vingt-quatre meilleurs au classement de la discipline.

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