« Il y a tellement de gens qui vivent dans des situations déplorables dans le monde que je ne vais pas me plaindre. Avoir un cancer aujourd'hui en France, il y a pire », dit Éric de Cromières au moment d'évoquer, dans La Montagne, la maladie qui le touche. Le président de Clermont a suivi six séances de chimiothérapie depuis le 22 février.
S'il a perdu ses cheveux, le moral est là. « J'ai toujours été combattant, dit-il. Je me sens plein d'énergie. C'est l'issue qui peut être désagréable, mais le cancer lui-même, pour moi, c'est une maladie comme les autres. J'ai la chance de ne pas avoir d'effets secondaires, juste un peu de fatigue de temps en temps. »
publié le 2 juillet 2020 à 09h55