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Marie-Reine Le Gougne, après la non validation de sa candidature à la présidence de la FFSG : « Je ne vais pas me laisser faire »

Comme Marie-Reine Le Gougne, Marc Bella et Hubert Godefroy ont vu leurs candidatures invalidées. (Eric Vazzoler/L'Équipe)
Comme Marie-Reine Le Gougne, Marc Bella et Hubert Godefroy ont vu leurs candidatures invalidées. (Eric Vazzoler/L'Équipe)

Marie-Reine Le Gougne, qui a appris mercredi que sa candidature à la présidence de la FFSG n'était pas validée par la Commission de surveillance des opérations électorales, a l'intention de déposer un recours.

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Marie-Reine Le Gougne (après la non-validation de sa candidature) : « Je vous annonce que je ne vais pas me laisser faire. J'ai pris attache avec mon avocat. Didier Gailhaguet a démissionné mais ses soutiens zélés sont toujours à la tête de la Fédération. Je ne vois pas pourquoi empêcher ma candidature (elle n'a pas l'ancienneté de deux ans de licence nécessaire selon les statuts de la FFSG), je pense que je leur fais un peu peur. Je vais aller jusqu'au bout, je dois reparler rapidement avec mon avocat pour saisir la commission de conciliation du CNOSF. Ce n'est pas du tout un contexte normal, on est à mi-mandat, qui pouvait savoir il y a deux mois que Didier Gailhaguet allait démissionner ? On est uniquement dans le politique. »

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Marc Bella (après la non-validation de sa candidature) : « Jusqu'à présent, je suis resté calme, mais là je prépare un communiqué et je vais l'ouvrir. On va vers un bis repetita, un effet Poutine, on va mettre Nathalie Péchalat qui est la marionnette de Didier Gailhaguet et il reviendra dans deux ans. »

publié le 4 mars 2020 à 14h48
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