Depuis le 11 mai, date du début du déconfinement en France, à la suite de la pandémie de coronavirus, les lutteurs, ont pour l'instant, seulement le droit de se préparer physiquement, mais ne peuvent réaliser aucune confrontation en corps-à-corps. Pour que la reprise complète de la discipline se fasse en toute sécurité, la Fédération française de lutte et disciplines associées (FFLDA) a proposé trois cycles de trois semaines chacun, sous réserve bien entendu des directives du ministère des Sports :
« Un premier cycle concernerait une pratique individuelle en salle, suivi trois semaines plus tard d'un second, avec une reprise de la pratique debout et projection, sans passage au sol, notamment les passages de grades, qui pourrait être faite avec un partenaire dédié ainsi qu'avec des mannequins qui seraient désinfectés après chaque utilisation, peut-on lire dans le communiqué de la FFLDA, publié samedi. La troisième phase permettrait d'autoriser le passage au sol et de reprendre notamment la pratique du beach wrestling dès que possible ».
L'objectif de la FFLDA, avec ces propositions, est d'arriver à une reprise opérationnelle dans tous les clubs, dès le mois de septembre prochain.