Portrait : Charles Leclerc, le roc monégasque

Du décès prématuré de son père aux accidents mortels en course de ses copains Jules Bianchi et Anthoine Hubert, le parcours du jeune pilote Ferrari est jalonné de drames qu'il a surmontés par une incroyable rage de vaincre.

Charles Leclerc, dimanche, après sa victoire lors du Grand Prix de Belgique. (B. Doppagne/Icon Sport)
Charles Leclerc, dimanche, après sa victoire lors du Grand Prix de Belgique. (B. Doppagne/Icon Sport)
Charles Leclerc, dimanche, après sa victoire lors du Grand Prix de Belgique. (B. Doppagne/Icon Sport)

Portrait : Charles Leclerc, le roc monégasque

Du décès prématuré de son père aux accidents mortels en course de ses copains Jules Bianchi et Anthoine Hubert, le parcours du jeune pilote Ferrari est jalonné de drames qu'il a surmontés par une incroyable rage de vaincre.

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Il n'a pas tremblé. Pourtant, il y avait de quoi. En fait, Charles Leclerc n'a peur de rien. Jamais. La seule fois où il reconnaît s'être laissé bluffer fut ce jour de septembre dernier, où, d'étonnement, il faillit perdre son téléphone. « J'étais sur le bateau d'un ami, se souvient le Monégasque. Le téléphone était en mode vibreur et je vois que Maurizio Arrivabene (l'ancien boss de la Scuderia) m'appelle. J'ai demandé à mon copain d'arrêter les moteurs. J'ai entendu que je partais chez Ferrari. Dès que j'ai raccroché, j'ai sauté à l'eau. »

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