Bakou, lundi, annonçait son report, victime à son tour du Covid-19. Le Canada, vu la position de son Comité olympique (annulant sa participation aux JO) et le développement de la pandémie sur le continent nord-américain, ne devrait pas tarder à en faire de même. La saison 2020 de Formule 1 ne débuterait alors, au mieux, qu'en France le 28 juin. Au Paul-Ricard, même si le circuit est fermé, on se tient prêt. Et le directeur de l'épreuve, Éric Boullier, était lundi à Londres pour discuter avec Chase Carey, le patron de la F1, solitaire dans ses bureaux, perdu dans une capitale britannique déserte. « Nous continuons à discuter régulièrement sur le sujet, explique l'ex-boss de McLaren et de Lotus. Le promoteur est très attentif à l'évolution de la situation. » Tout comme l'épreuve française qui doit, comme les autres Grands Prix, subir cette pandémie.
F1 : avec le coronavirus, la France est placée pour accueillir le premier Grand Prix de la saison
Bakou reporté, le Canada en question, l'épreuve du Paul-Ricard pourrait devenir le premier Grand Prix de la saison 2020. Éric Boullier, son directeur, se tient prêt.
Charles Leclerc au volant de sa Ferrari sur le circuit Paul-Ricard lors des essais du Grand Prix de France la saison dernière. Le Monégasque avait terminé la course en troisième position, le dimanche 23 juin 2019. (J. Prévost/L'Équipe)
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Bakou reporté, le Canada en question, l'épreuve du Paul-Ricard pourrait devenir le premier Grand Prix de la saison 2020. Éric Boullier, son directeur, se tient prêt.
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