Pour Adrien, la vie n'a pas tant changé que cela. Certes, il doit désormais porter un masque mais les gants qu'il utilise ce matin pour travailler ne sont pas dus à la crise du coronavirus. « J'en ai toujours eu besoin, raconte ce responsable de monocylindre (minimoteur servant à penser le futur des V6 Renault de F1) en assemblant tranquillement ses pièces. Cela n'a rien à voir avec le virus. C'est à cause de la graisse et contre l'oxydation. »
En immersion chez Renault en pleine préparation du Grand Prix d'Autriche
« L'Équipe » a suivi sur le site de Viry-Châtillon (Essonne) l'assemblage des moteurs des F1 qui, dimanche en Autriche, prendront le départ du premier Grand Prix de la saison.
À l'ère du Covid-19, masque de protection sanitaire, distanciation physique et rappel des gestes barrières sont le quotidien des employés de l'usine Renault de Viry-Châtillon où sont conçus et fabriqués les moteurs de F1. (J. Prévost/L'Équipe)
En immersion chez Renault en pleine préparation du Grand Prix d'Autriche
« L'Équipe » a suivi sur le site de Viry-Châtillon (Essonne) l'assemblage des moteurs des F1 qui, dimanche en Autriche, prendront le départ du premier Grand Prix de la saison.
ma liste
commenter
réagir
0 commentaire
0 réaction
Les commentaires sont soumis à des règles de modération.
lire la charte
Il n’y a pas encore de commentaire à cet article.