Pour l'instant, l'horizon de la Formule 1 s'arrête à la fin de l'été. Au soir du 5 septembre, à Monza. La piste du Mugello, la semaine suivante, pour célébrer le 1000e Grand Prix de Ferrari, paraît tenir la corde.
Après, c'est le grand flou avec deux pistes explorées par le promoteur. Soit la pandémie du Covid-19 s'apaise et l'idée de reprendre les longs voyages tient la route, soit la crise reprend et les monoplaces resteront en Europe jusqu'au final de décembre (deux courses à Bahreïn, une Abu Dhabi sont déjà actées).
Dans le premier cas, on connaissait l'envie de Sotchi, en Russie, d'accueillir deux Grands Prix et la proposition émise à Shanghaï d'en faire de même.
Le 11 octobre sur l'Ile Notre-Dame ?
Le magazine canadien, Pole Position, annonce le retour du Canada au calendrier. Il en donne même la date, le 11 octobre, et évoque aussi la présence probable de public dans les tribunes du circuit de l'Ile Notre-Dame. La date, tardive, ne serait pas une première pour l'épreuve québecoise. En 1978, pour sa première édition à Montréal, le GP du Canada avait sacré Gilles Villeneuve un 8 octobre.
La Formule 1 a promis un calendrier définitif avant le début de la saison programmé au Red Bull Ring en Autriche dans dix jours.