Face à la crise, Saint-Étienne peut se souvenir de l'hiver 2010

Mal classée et en cessation de paiement il y a dix ans, l'ASSE s'en était sortie grâce au soutien d'un pool de banques locales et des salaires revus à la baisse.

Le président du directoire des Verts, Roland Romeyer, et le directeur général du club, Xavier Thuilot, annonçant l'arrivée de l'entraîneur Claude Puel à Saint-Étienne, le 4 octobre. (N. Luttiau/L'Équipe)
Le président du directoire des Verts, Roland Romeyer, et le directeur général du club, Xavier Thuilot, annonçant l'arrivée de l'entraîneur Claude Puel à Saint-Étienne, le 4 octobre. (N. Luttiau/L'Équipe)
Le président du directoire des Verts, Roland Romeyer, et le directeur général du club, Xavier Thuilot, annonçant l'arrivée de l'entraîneur Claude Puel à Saint-Étienne, le 4 octobre. (N. Luttiau/L'Équipe)

Face à la crise, Saint-Étienne peut se souvenir de l'hiver 2010

Mal classée et en cessation de paiement il y a dix ans, l'ASSE s'en était sortie grâce au soutien d'un pool de banques locales et des salaires revus à la baisse.

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Habitué à gérer l'AS Saint-Étienne en bon père de famille, Roland Romeyer, le président du directoire, compte encore de plus près ses sous, ces temps-ci. La crise du coronavirus survient la saison où le club s'est doté du plus gros budget de son histoire (109 M€). D'après le prévisionnel présenté à la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) en juin 2019, il se trouvait à l'équilibre jusqu'à la 8e place. Dix-septième au soir de la 28e journée, à dix points du 8e (Montpellier), les Verts se préparaient donc déjà à essuyer des pertes pour la première fois depuis neuf ans.

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