Coronavirus : blessés et confinés, la double peine

Les clubs de Ligue 1 ont du mal à gérer à distance la rééducation de leurs blessés de longue durée, en particulier pour ceux rentrés à l'étranger.

Le Nantais Marcus Coco est sorti sur civière le 11 août à Lille. (Aude Alcover/Icon sport)
Le Nantais Marcus Coco est sorti sur civière le 11 août à Lille. (Aude Alcover/Icon sport)
Le Nantais Marcus Coco est sorti sur civière le 11 août à Lille. (Aude Alcover/Icon sport)

Coronavirus : blessés et confinés, la double peine

Les clubs de Ligue 1 ont du mal à gérer à distance la rééducation de leurs blessés de longue durée, en particulier pour ceux rentrés à l'étranger.

ma liste
commenter
réagir

« Franchement, c'est pire d'être confiné que blessé. Quand j'étais blessé, je faisais quand même du sport, j'allais à la Jonelière, je côtoyais mes coéquipiers. Ne pas pouvoir sortir, c'est dur. » Cet aveu de Marcus Coco, milieu de terrain offensif de Nantes, victime d'une rupture des ligaments croisés lors de la 1re journée de Ligue 1 (le 11 août sur le terrain de Lille, 1-2), laisse imaginer la double peine morale et physique que vivent les blessés de longue durée contraints au confinement et à l'immobilité. Ainsi que la difficulté pour les staffs médicaux de leurs clubs d'assurer à distance une rééducation efficace, notamment après une blessure grave ayant nécessité une intervention chirurgicale.

Les commentaires sont soumis à des règles de modération. lire la charte