À la Juventus, Maurizio Sarri contre le « Sarrisme » ?

Pour son premier match (victoire à Parme 1-0), la Juventus a présenté quelques variantes du « Sarrisme », voire des contradictions. L'Italien va-t-il redéfinir ses principes de jeu et ses circuits, jusqu'alors si rigides et mécanisés ? Ronaldo est notamment apparu très libre.

À la Juventus, Maurizio Sarri contre le « Sarrisme » ?

Pour son premier match (victoire à Parme 1-0), la Juventus a présenté quelques variantes du « Sarrisme », voire des contradictions. L'Italien va-t-il redéfinir ses principes de jeu et ses circuits, jusqu'alors si rigides et mécanisés ? Ronaldo est notamment apparu très libre.

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L'arrivée de Maurizio Sarri à la Juventus est une curiosité à plus d'un titre tant le nouvel entraîneur bianconero semblait incarner l'opposé du club le plus puissant d'Italie. En termes de personnalité, de passé, et surtout de football. Lui, l'entraîneur qui ne veut pas « gagner à n'importe quel prix », le chantre du « jouer bien », a rejoint le club où seule la victoire est belle. Un choc identitaire et culturel. L'attelage de cet entraîneur aux schémas rigides et aux circuits de passes très mécanisées avec un tel effectif comprenant « l'extra-joueur » Cristiano Ronaldo peut-il fonctionner ?

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