L'ÉQUIPE
Kenny « kennyS » Schrub (à gauche) et G2 lors de la finale de l'ESL Pro League à Montpellier. (Timo Verdeil/ESL)

Esport : l'année 2019 en images

Kenny « kennyS » Schrub (à gauche) et G2 lors de la finale de l'ESL Pro League à Montpellier. (Timo Verdeil/ESL)

Esport : l'année 2019 en images

Kenny « kennyS » Schrub (à gauche) et G2 lors de la finale de l'ESL Pro League à Montpellier. (Timo Verdeil/ESL)

Worlds de League of Legends, EVO, G2, Faker, OG... Revivez, en 18 photos marquantes, l'année 2019 du sport électronique.

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(Valve)
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OG, l'année du doublé
Sur Dota 2, OG et son joueur français Sébastien « Ceb » Debs ont réalisé l'un des plus gros exploits de l'histoire du sport électronique en devenant la première équipe à conserver son titre de The International - l'équivalent des championnats du monde - à Shanghai, en août. Mieux, jamais une formation n'avait inscrit son nom deux fois au palmarès.

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(Colin-Young Wolff/Riot games)
(Colin-Young Wolff/Riot games)

G2, la belle saison
Les Européens de G2 ont dominé la scène internationale sur League of Legends - jusqu'aux Mondiaux - cette année. En mai, ils remportaient le Mid-Season Invitational en battant la Team Liquid en finale (3-0), après avoir dominé SKT dans un match épique (3-2).

(Timo Verdeil/ESL)
(Timo Verdeil/ESL)

La folie G2 à Montpellier
Fin juin, la formation Counter-Strike de G2 Esports atteignait la finale de l'ESL Pro League à Montpellier. Malgré un match épique, les Français de Kenny « kennyS » Schrub (debout, à gauche) s'inclinaient (1-3) contre les Nord-Américains de la Team Liquid.

(Psyonix)
(Psyonix)

Un titre mondial pour Vitality
Le même jour, Vitality remportait le plus beau titre de son histoire avec les championnats du monde de Rocket League, aux États-Unis. Une troisième couronne pour le Tricolore Alexandre « Kaydop » Courant.

(StarLadder)
(StarLadder)

Astralis toujours au-dessus
Sur Counter-Strike, Astralis a de nouveau marqué cette année 2019 en remportant les deux Majors, à Katowice (en mars) et à Berlin (en septembre). Trois de suite, quatre en tout : la formation danoise n'en a pas fini de dominer la scène.

(Stephanie Lieske/ESL)
(Stephanie Lieske/ESL)

Team Liquid a eu sa période
Mais entre juin et août, c'est bien la Team Liquid qui se trouvait au sommet de la planète CS : GO, avec comme point d'orgue un titre lors de l'ESL One Cologne, début juillet

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(Helena Kristiansson/ESL)
(Helena Kristiansson/ESL)

Vitality, une deuxième place mondiale qu'il faudra confirmer
Vitality a aussi brillé en 2019 sur Counter-Strike. Pour leur première année complète sur le jeu développé par Valve, les Français - portés par un Mathieu « ZywOo » Herbaut magistral - ont remporté quatre tournois et grimpé jusqu'à la deuxième place mondiale. Ils ont également atteint la finale à Cologne.

(Epic Games)
(Epic Games)

Bugha, couronné sur Fortnite
La première Coupe du monde de Fortnite a sacré un prodige en solo. Kyle « Bugha » Giersdorf, 16 ans, a écrasé la concurrence fin juillet en terminant avec 26 points d'avance sur son dauphin. Soit l'écart entre le deuxième et le... 67e !

(Robert Paul/EVO)
(Robert Paul/EVO)

MKLeo, roi de la scène Smash
Leonardo « MKLeo » Lopez Perez soulève le trophée de l'EVO (la Mecque des jeux de combat) à Las Vegas, début août. Pour la première saison compétitive sur Super Smash Bros Ultimate (sorti fin 2018), le Mexicain de 18 ans a écrasé la scène professionnelle en remportant la quasi-intégralité des tournois majeurs.

(Stephanie Lindgren/EVO)
(Stephanie Lindgren/EVO)

La prière d'Arslan Ash
Mais c'est probablement le Pakistanais Arslan « Arslan Ash » Siddique qui a le plus marqué cette édition de l'EVO en remportant la compétition sur Tekken 7. Un exploit pour un joueur encore méconnu il y a quelques mois et au parcours singulier.

(Premier League)
(Premier League)

Tekkz, maître sur FIFA
Même s'il n'a pas été sacré champion du monde début août, Donovan « Tekkz » Hunt (17 ans) a dominé la saison sur FIFA 19 avec plusieurs titres majeurs. En mars, il remportait la première édition de l'ePremier League comme représentant de Liverpool, son club de coeur.

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(Robert Paul/Blizzard)
(Robert Paul/Blizzard)

San Francisco Shock domine l'Overwatch League
Début septembre, San Francisco Shock marchait sur les Vancouver Titans (4-0) en finale de la deuxième édition de l'Overwatch League, à Philadelphie. Concluant ainsi un parcours exceptionnel vers le titre.

(Michal Konkol/Riot Games)
(Michal Konkol/Riot Games)

Les larmes de Rekkles
Martin « Rekkles » Larsson inconsolable après la cruelle défaite de Fnatic contre G2 (2-3) à Athènes, en septembre, en finale du segment d'été du League of Legends European Championship.

(Blizzard)
(Blizzard)

Liooon, championne et exemple
Xiaomeng « Liooon » Li a également marqué le sport électronique en 2019 en devenant la première femme à remporter un titre mondial dans cette discipline mixte. Sur Hearthstone, à la Blizzcon, début novembre.

(Timo Verdeil/L'Équipe)
(Timo Verdeil/L'Équipe)

Faker, un retour incomplet
Triple champion du monde de League of Legends (2013, 2015, 2016) mais loin du compte en 2018, Sang-hyeok « Faker » Lee (SKT) a fait son retour au plus haut niveau cette année avec deux titres en Corée du Sud. Aux Worlds, son équipe a cependant chuté contre G2 en demi-finale.

(Timo Verdeil/L'Équipe)
(Timo Verdeil/L'Équipe)

Caps et Doinb, duel de midlaners
Rasmus « Caps » Winther (G2, à droite) et Tae-sang « Doinb » Kim (FunPlus Phoenix, à gauche), lors de la présentation des finalistes des Mondiaux de League of Legends.

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(Timo Verdeil/L'Équipe)
(Timo Verdeil/L'Équipe)

Paris, hôte de la finale des Worlds
L'AccorHotels Arena de Paris, lors de la finale des Mondiaux de League of Legends début novembre.

(Timo Verdeil/L'Équipe)
(Timo Verdeil/L'Équipe)

Une finale à sens unique
Les commentateurs d'O'Gaming à Paris, lors des dernières minutes de la finale des Mondiaux de League of Legends remportée par les Chinois de FunPlus Phoenix contre les Européens de G2 Esports (3-0).

publié le 25 décembre 2019 à 12h00
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