Paris-Nice : Romain Bardet, à un kilomètre près

Le Français a cédé hier tout près du sommet, mais il s'est replacé au général (6e) et aimerait passer à l'attaque aujourd'hui à Nice.

Romain Bardet a craqué peu avant la flamme rouge. Il accuse un retard de 1'45'' sur le leader, Egan Bernal. (MANTEY STEPHANE / L'EQUIPE)
Romain Bardet a craqué peu avant la flamme rouge. Il accuse un retard de 1'45'' sur le leader, Egan Bernal. (MANTEY STEPHANE / L'EQUIPE)
Romain Bardet a craqué peu avant la flamme rouge. Il accuse un retard de 1'45'' sur le leader, Egan Bernal. (MANTEY STEPHANE / L'EQUIPE)

Paris-Nice : Romain Bardet, à un kilomètre près

Le Français a cédé hier tout près du sommet, mais il s'est replacé au général (6e) et aimerait passer à l'attaque aujourd'hui à Nice.

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COL DE TURINI - À l'approche de l'hôtel Les Chamois, lieu emblématique du Rallye Monte-Carlo, posé au sommet du col de Turini (1 607 m), les plaques de neige se multipliaient au pied des épicéas et Romain Bardet, après plus de treize bornes d'ascension, tenait bon. Ils n'étaient déjà plus que six dans le groupe des favoris : le maillot jaune Michal Kwiatkowski avait dépassé ses limites en montagne et stoppé son effort, en même temps que Rudy Molard, qui a explosé «d'un coup, comme une fringale : plus d'énergie». Wilco Kelderman et Bob Jungels, eux, n'étaient plus là depuis longtemps.

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