Entre pérennisation des courses et nouvelle répartition financière, le cyclisme face à la crise du coronavirus

Le seul sport où un sponsor donne son nom à une équipe se retrouve aujourd'hui étranglé par la crise du Covid-19, alors qu'il avait survécu jusque-là malgré un système économique fragile.

Les sponsors sont partout sur les routes du Tour, sur les maillots des coureurs, les cuissards, les tee-shirts et les bobs des supporters, les véhicules... et pourtant leur apport est encore insuffisant. (S. Mantey/L'Équipe)
Les sponsors sont partout sur les routes du Tour, sur les maillots des coureurs, les cuissards, les tee-shirts et les bobs des supporters, les véhicules... et pourtant leur apport est encore insuffisant. (S. Mantey/L'Équipe)
Les sponsors sont partout sur les routes du Tour, sur les maillots des coureurs, les cuissards, les tee-shirts et les bobs des supporters, les véhicules... et pourtant leur apport est encore insuffisant. (S. Mantey/L'Équipe)

Entre pérennisation des courses et nouvelle répartition financière, le cyclisme face à la crise du coronavirus

Le seul sport où un sponsor donne son nom à une équipe se retrouve aujourd'hui étranglé par la crise du Covid-19, alors qu'il avait survécu jusque-là malgré un système économique fragile.

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Si les véritables secousses de la crise actuelle ne sont pas encore totalement palpables, on assiste déjà aux premières fissures du système économique exsangue et instable qu'est celui du cyclisme. Du « petit » marchand de chaussures polonais CCC contraint d'arrêter à la fin de l'année car ses magasins sont restés fermés plus de deux mois, aux oligarques d'Astana et Ineos victimes, quant à eux, de la chute du cours du gaz et du pétrole, le cyclisme est encore plus fragilisé, victime d'une dangereuse dépendance économique.

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