Coupe du monde : les Bleues démarrent la compétition avec un nouveau coach de tir

Après une saison en demi-teinte, les Bleues attaquent l'hiver avec un nouveau coach de tir, le troisième en trois ans. Pas évident pour un collectif qui se cherche.

Anaïs Bescond, ici sur le pas de tir lors du relais mixte samedi, se réjouit de la remise en question provoquée par le changement d'entraîneur dans l'équipe. (F. Mons/L'Équipe)
Anaïs Bescond, ici sur le pas de tir lors du relais mixte samedi, se réjouit de la remise en question provoquée par le changement d'entraîneur dans l'équipe. (F. Mons/L'Équipe)
Anaïs Bescond, ici sur le pas de tir lors du relais mixte samedi, se réjouit de la remise en question provoquée par le changement d'entraîneur dans l'équipe. (F. Mons/L'Équipe)

Coupe du monde : les Bleues démarrent la compétition avec un nouveau coach de tir

Après une saison en demi-teinte, les Bleues attaquent l'hiver avec un nouveau coach de tir, le troisième en trois ans. Pas évident pour un collectif qui se cherche.

ma liste
commenter
réagir

Bien sûr, il y a eu quelques bonnes choses. Les trois podiums d'Anaïs Chevalier, les deux de Justine Braisaz, dont cette médaille de bronze sur l'individuel aux Mondiaux d'Östersund, l'affirmation du potentiel de Julia Simon (4e du sprint de Pokl­juka). Mais des mauvaises aussi, aucune victoire, seulement vingt incursions dans le top 10 à cause, souvent, d'un tir défaillant (80 % de réussite de moyenne pour les cinq titulaires) et une seule classée dans le top 20 final (Anaïs Chevalier, 20e).

Les commentaires sont soumis à des règles de modération. lire la charte