Pour se développer, L'Asvel s'inspire de plusieurs modèles, dont le Bayern Munich

Alors qu'il reçoit le CSKA Moscou, tenant du titre, aux moyens quatre fois plus importants, le champion de France fait le pari d'un développement vertueux, en s'inspirant des modèles Bayern Munich ou Zalgiris Kaunas.

Le CSKA Moscou de Kyle Hines (numéro 42, en rouge), ici contre l'Olympiakos, fait figure d'ogre sportif et économique au niveau européen. La salle moscovite, le Megasport Palace, dispose d'une capacité de plus de 13 000 sièges. (N. Muller/Panoramic)
Le CSKA Moscou de Kyle Hines (numéro 42, en rouge), ici contre l'Olympiakos, fait figure d'ogre sportif et économique au niveau européen. La salle moscovite, le Megasport Palace, dispose d'une capacité de plus de 13 000 sièges. (N. Muller/Panoramic)
Le CSKA Moscou de Kyle Hines (numéro 42, en rouge), ici contre l'Olympiakos, fait figure d'ogre sportif et économique au niveau européen. La salle moscovite, le Megasport Palace, dispose d'une capacité de plus de 13 000 sièges. (N. Muller/Panoramic)

Pour se développer, L'Asvel s'inspire de plusieurs modèles, dont le Bayern Munich

Alors qu'il reçoit le CSKA Moscou, tenant du titre, aux moyens quatre fois plus importants, le champion de France fait le pari d'un développement vertueux, en s'inspirant des modèles Bayern Munich ou Zalgiris Kaunas.

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Lorsque sonnera la musique grandiloquente de l'Euroligue ce soir à l'Astroballe, l'Asvel fera face à un adversaire - le CSKA Moscou champion d'Europe - quatre fois plus gros qu'elle, un Obélix du froid. Du simple au quadruple, c'est le rapport de force financier qui sépare le nouveau venu français des mastodontes espagnols, russes, voire turcs qui dominent la mini-NBA européenne.

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