Oui, la NBA se féminise

Le nombre d'entraîneures assistantes a doublé en NBA d'une saison sur l'autre. Un signe tangible de la féminisation en cours des franchises, à l'image de Milwaukee, qui affronte Charlotte à Paris vendredi. Mais elles restent encore frileuses dans l'attribution des responsabilités sportives.

Kelly Krauskopf, la première assistante manageuse générale de la NBA, avec les joueurs des Indiana Pacers en décembre 2018. (M. McEldowney/Presse Sports)
Kelly Krauskopf, la première assistante manageuse générale de la NBA, avec les joueurs des Indiana Pacers en décembre 2018. (M. McEldowney/Presse Sports)
Kelly Krauskopf, la première assistante manageuse générale de la NBA, avec les joueurs des Indiana Pacers en décembre 2018. (M. McEldowney/Presse Sports)

Oui, la NBA se féminise

Le nombre d'entraîneures assistantes a doublé en NBA d'une saison sur l'autre. Un signe tangible de la féminisation en cours des franchises, à l'image de Milwaukee, qui affronte Charlotte à Paris vendredi. Mais elles restent encore frileuses dans l'attribution des responsabilités sportives.

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Des trophées de fin de saison, c'est sans doute le moins médiatisé. Pourtant, il constitue un indice fiable de bonne santé collective. Son lauréat serait encore passé inaperçu cette année si, en mai dernier, le MVP Giannis Antetokounmpo n'avait pas de lui-même évoqué le Strength & Conditioning Coach of the Year Award remporté par Suki Hobson, quadra anglaise qui veille sur les Bucks depuis 2015. C'est une première, le meilleur préparateur physique de NBA est actuellement une préparatrice.

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