Pedro Sanchez a plus fait pour le basket espagnol que les douze hommes de la Roja. En annonçant samedi - avant la date butoir du 31 mai fixée par l'ACB pour décider de la reprise ou de l'arrêt de la Liga Endesa - , que les ligues pro pourraient rejouer à partir du 8 juin, le Premier ministre espagnol a donné corps au projet de finir la saison par un tournoi à douze équipes disputé la seconde moitié de juin dans un lieu unique, sans aucun doute à Valence. Là où Louis Labeyrie a vécu son confinement« sans jamais s'ennuyer » et a été un des premiers à reprendre l'entraînement (individuel), le 4 mai, grâce à des installations vastes et modernes. Fidèle à son franc-parler, l'intérieur des Bleus estime que la peur de se blesser risque d'être plus importante que la quête de légitimité du futur champion.
Louis Labeyrie (Valence), au sujet de la reprise du Championnat espagnol : « On jouera pour que la télévision paie »
L'intérieur des Bleus a repris l'entraînement depuis trois semaines. Avec son équipe, Valence, il pourrait disputer un tournoi à douze à la mi-juin afin de désigner le champion d'Espagne.
Louis Labeyrie se réjouit de reprendre la compétition à « un rythme effréné » à partir de la mi-juin. (A. Réau/L'Équipe)
Louis Labeyrie (Valence), au sujet de la reprise du Championnat espagnol : « On jouera pour que la télévision paie »
L'intérieur des Bleus a repris l'entraînement depuis trois semaines. Avec son équipe, Valence, il pourrait disputer un tournoi à douze à la mi-juin afin de désigner le champion d'Espagne.
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