Une victoire à l'américaine
« On a assez logiquement, je dirais, battu les USA, à l'américaine. Sur le jeu, j'ai plus vu de défis, de un contre un, un jeu sur un mode à l'américaine, où on avait tout simplement plus d'arguments, plus de talent. C'était du bugne à bugne, du talent pur, et c'est quand même un peu dans nos points forts globalement. Tous les "Américains" (les Français évoluant en NBA) ont répondu présents, et je ne parle même pas de Frank Ntilikina, qui sort des trucs qui n'étaient pas prévus au programme ! Évidemment qu'il y a une influence américaine, et Vincent (Collet), lui-même, a accepté cette évidence. Il suffit de voir Fournier jouer en première intention. De mémoire, je n'ai jamais vu un jeu aussi direct sous l'ère Collet. Parker était meneur, certes, mais même lui ne se permettait pas de jouer en première intention comme ça. »