L'affaire Ophélie Claude-Boxberger restera dans les annales de l'antidopage. Elle a mijoté à petit feu les ingrédients les plus goûteux : l'amour, la trahison, le sexe, la famille, la jalousie, le suspense et les rebondissements... Les gendarmes de l'Oclaesp (Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique) en ont peut-être soulevé le couvercle vendredi matin, à l'issue d'une enquête de près d'un mois ponctuée par une garde à vue décisive de quarante-huit heures.
Dopage, machination, jalousie... : l'incroyable affaire Ophélie Claude-Boxberger
À la sortie d'une garde à vue de quarante-huit heures, vendredi, se dessine désormais la thèse de la machination. Un proche de l'athlète a avoué aux gendarmes lui avoir injecté de l'EPO à son insu.
Un proche de l'athlète a avoué aux gendarmes lui avoir injecté de l'EPO à son insu. (S. Boué/L'Équipe)
Dopage, machination, jalousie... : l'incroyable affaire Ophélie Claude-Boxberger
À la sortie d'une garde à vue de quarante-huit heures, vendredi, se dessine désormais la thèse de la machination. Un proche de l'athlète a avoué aux gendarmes lui avoir injecté de l'EPO à son insu.
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